Malgré les progrès réalisés dans le traitement de nombreux cancers, certains d’entre eux demeurent de mauvais pronostic. La stratégie décennale de lutte contre les cancers inclut dans cette catégorie ceux dont la survie à 5 ans est inférieure à 33 %. Ce pronostic défavorable peut être lié à un dépistage tardif, une localisation difficile d’accès, une évolution rapide et agressive, une résistance aux thérapies ou un manque de solutions thérapeutiques spécifiques.

L'Institut National du Cancer a ainsi labellisé 4 réseaux de recherche sur les cancers de mauvais pronostic en 2023 et 2024 :

• Réseau FEM-NET pour les cancers de mauvais pronostic gynécologiques et mammaires (2023)
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• Réseau GLIOREC pour les cancers de mauvais pronostic en neurologie (2023)
• Réseau COALA pour l'adénocarcinome pulmonaire avec addiction oncogénique (2024)
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• Réseau FRAP pour les adénocarcinome du Pancréas (2024)
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